Your browser doesn't support javascript.
Mostrar: 20 | 50 | 100
Resultados 1 - 1 de 1
Filtrar
Adicionar filtros

Ano de publicação
Tipo de documento
Intervalo de ano
1.
Canadian Social Work Review ; 38(2):179-205, 2021.
Artigo em Inglês | ProQuest Central | ID: covidwho-1994442

RESUMO

This article explores the insidiousness of racism and White supremacy embedded within the social work academy. We conceptualize the social work academy as the institutionalized practices within social work education, research, policy, and practice. As such, the social work academy is the bedrock that continues to perpetuate racism and colonialism within the profession. Anchored by an integrative analysis of social work that draws on both postcolonial and critical race theory, we theorize that, rooted in this foundation of oppression, White supremacy in social work often manifests as academic voyeurism—the non-performative White gaze. We suggest that academic voyeurism within the social work academy renders Black people, Indigenous people, and People of Colour (BIPOC) as bodies to be studied, exoticized, and theorized about, without any substantive anti-racist change or action required. Academic voyeurism sustains social work’s dissonant position—its endorsement of social justice alongside its simultaneous ambivalence towards racism and White supremacy. The discussion draws on historical underpinnings, research, and experiential data to turn the gaze onto the academy, illuminating the implications of academic voyeurism on racialized bodies and the social work profession’s broader goals. The discussion concludes with a call to collective action for racialized social workers and those wishing to be justice-seeking accomplices.Alternate :Cet article explore le caractère insidieux du racisme et de la suprématie blanche au sein du travail social. Selon notre conceptualisation, cela comprend les pratiques institutionnalisées dans l’éducation, la recherche, la politique et la pratique du travail social. L’académie du travail social est le socle qui continue à perpétuer le racisme et le colonialisme au sein de la profession. Ancrée dans une analyse intégrative du travail social qui s’inspire à la fois de la théorie postcoloniale et de la théorie critique de la race, notre théorie est que, enracinée dans ce fondement de l’oppression, la suprématie blanche en travail social se manifeste souvent par le voyeurisme académique—le regard blanc non performatif. Nous suggérons que le voyeurisme académique au sein de l’académie du travail social fait des personnes noires, autochtones et de couleur (BIPOC) des corps à étudier, à exotiser et à théoriser, sans qu’aucun changement ou action antiraciste substantiel ne soit fait. Le voyeurisme académique soutient la position dissonante du travail social—son soutien à la justice sociale et son ambivalence simultanée envers le racisme et la suprématie blanche. La discussion s’appuie sur des fondements historiques, des recherches et des données expérientielles pour tourner le regard vers l’académie, éclairant les implications du voyeurisme académique sur les corps racisés et les objectifs plus larges de la profession du travail social. La discussion se termine par un appel à l’action collective pour les travailleuses sociales et travailleurs sociaux racisés et ceux qui souhaitent être des complices de cette quête de justice.

SELEÇÃO DE REFERÊNCIAS
DETALHE DA PESQUISA